2010-05-30
L’autoroute est-ouest a coûté 11 milliards de dollars, a indiqué, dimanche 30 mai, à Sétif le ministre des Travaux publics Amar Ghoul. Le coût « global et réel » de la réalisation de cette autoroute s'élève à 11 milliards de dollars, « ni plus ni moins », a déclaré M. Ghoul. Le ministre répond ainsi au groupement chinois Citic-crcc qui réclame le paiement de coûts supplémentaires. Ces coûts sont estimés à 2 milliards de dollars par ce groupement. Mais le gouvernement algérien les conteste.
Le ministre, qui a ouvert le tronçon de 34 km de l'autoroute reliant les wilayas de Bordj Bou Arreridj et Sétif, a dénoncé « les spéculations et la surenchère entendues çà et là et qui ne servent pas l'intérêt du pays ». Il s'agit d'un « méga projet qui honore l'Algérie et tous les Algériens », a-t-il dit. M. Ghoul a ajouté que sa réalisation est le fait des « efforts conjugués de toutes les compétences algériennes, travailleurs, cadres et responsables »'. Il indiqué que « 90 % de cet ouvrage reliant les frontières est et ouest ont été réalisés en un temps record, avant même les délais contractuels ».
Le projet a permis de former 4.500 cadres dans le domaine de la construction des autoroutes, des compétences qui « permettront de prendre en charge toutes les projections d'avenir dans ce domaine », selon le ministre.
Riyad Hamadi Tsa
Le ministre, qui a ouvert le tronçon de 34 km de l'autoroute reliant les wilayas de Bordj Bou Arreridj et Sétif, a dénoncé « les spéculations et la surenchère entendues çà et là et qui ne servent pas l'intérêt du pays ». Il s'agit d'un « méga projet qui honore l'Algérie et tous les Algériens », a-t-il dit. M. Ghoul a ajouté que sa réalisation est le fait des « efforts conjugués de toutes les compétences algériennes, travailleurs, cadres et responsables »'. Il indiqué que « 90 % de cet ouvrage reliant les frontières est et ouest ont été réalisés en un temps record, avant même les délais contractuels ».
Le projet a permis de former 4.500 cadres dans le domaine de la construction des autoroutes, des compétences qui « permettront de prendre en charge toutes les projections d'avenir dans ce domaine », selon le ministre.
Riyad Hamadi Tsa