2014-02-21
La place d’Armes devra bénéficier d’une importante extension. Il est nécessaire pour cela que le centre d’information de l’Armée soit délocalisé. Là est le hic…
De l’avis de tous, la place du 1er Novembre, la plus importance du centre-ville d’Oran, est très étroite. C’est pourquoi il est plus qu’urgent de procéder à son extension et d’en faire un grand espace pour le centre-ville, dont les Oranais peuvent se targuer. Dans cette optique, il a été décidé, en 2008, d’agrandir cette place et lui donner, de facto, un nouveau visage digne des places des grandes métropoles du monde. Toutefois, l’extension de la place du 1er Novembre ne peut se faire sans la délocalisation du centre d’information de l’Armée, qui officie au cœur de cette place.
C’est en 2008, lors d’une réunion de l’exécutif, en présence du ministre de l’Intérieur de l’époque, Yazid Nourredine Zerhouni, qu’un accord a été trouvé avec l’Armée pour que celle-ci déménage de ce lieu pour permettre ainsi son extension. Sa superficie actuelle (120 m sur 120) devrait donc doubler, ce qui était plus que «souhaitable» pour beaucoup d’Oranais. Il était même question de la doter d’un pont en bois pour la relier au Chateauneuf, là où sera aménagé le futur siège de l’APC d’Oran. Un projet plus qu’ambitieux donc, et qui devrait modifier quelque peu l’image de la ville. Hélas, les années sont passées par là, et bien que d’importants projets aient été lancés dans cette même place (lifting, tramway…), aucune mesure n’a été prise pour la délocalisation effective du centre de l’Armée. «Il aurait fallu délocaliser le Mess de l’Armée pendant la réception du tramway pour en faire d’une pierre deux coups», dira un connaisseur avisé.
Dimanche dernier, lors du forum de «Ouest Tribune», le wali d’Oran a répondu à une question d’El Watan sur ce sujet. «L’idée de délocaliser le centre de l’Armée est toujours à l’ordre du jour», dira-t-il. «Un accord a été trouvé avec la Région militaire pour donner une nouvelle structure à l’Armée. Mais il est prévu que la wilaya lègue à l’Armée une autre structure clefs en main, c’est-à-dire aménagée. Ce qui explique le retard, car la structure en question est actuellement du ressort de la direction des transports. Il faut que celle-ci soit délocalisée à son tour», dira-t-il.
Par ailleurs, il faut savoir que tous les immeubles aux alentours de la place du 1er Novembre devront bénéficier d’une opération de réhabilitation, dans le cadre d’un nouveau programme décidé le mois de décembre dernier. L’ex-hôtel de ville devait également bénéficier d’une restauration, pour être transformé en musée. Or, jusqu’à ce jour, bien que les échaffaudages aient été placées, le projet est encore à la traîne. Par ailleurs, pour beaucoup d’Oranais, il est nécessaire d’animer davantage la place du 1er Novembre, souvent présentée comme la carte postale de la ville, mais réputée pour être «tristounette» tant aucune activité n’y est animée. «Il est urgent de munir cette grande place de cafés avec terrasse ou encore de restaurants», diront beaucoup de gens. «Cela est d’autant plus souhaitable qu’elle est desservie par le tramway et est pourvue du théâtre régional de la ville. De ce fait, elle peut être animée jusqu’aux heures nocturnes».
De l’avis de tous, la place du 1er Novembre, la plus importance du centre-ville d’Oran, est très étroite. C’est pourquoi il est plus qu’urgent de procéder à son extension et d’en faire un grand espace pour le centre-ville, dont les Oranais peuvent se targuer. Dans cette optique, il a été décidé, en 2008, d’agrandir cette place et lui donner, de facto, un nouveau visage digne des places des grandes métropoles du monde. Toutefois, l’extension de la place du 1er Novembre ne peut se faire sans la délocalisation du centre d’information de l’Armée, qui officie au cœur de cette place.
C’est en 2008, lors d’une réunion de l’exécutif, en présence du ministre de l’Intérieur de l’époque, Yazid Nourredine Zerhouni, qu’un accord a été trouvé avec l’Armée pour que celle-ci déménage de ce lieu pour permettre ainsi son extension. Sa superficie actuelle (120 m sur 120) devrait donc doubler, ce qui était plus que «souhaitable» pour beaucoup d’Oranais. Il était même question de la doter d’un pont en bois pour la relier au Chateauneuf, là où sera aménagé le futur siège de l’APC d’Oran. Un projet plus qu’ambitieux donc, et qui devrait modifier quelque peu l’image de la ville. Hélas, les années sont passées par là, et bien que d’importants projets aient été lancés dans cette même place (lifting, tramway…), aucune mesure n’a été prise pour la délocalisation effective du centre de l’Armée. «Il aurait fallu délocaliser le Mess de l’Armée pendant la réception du tramway pour en faire d’une pierre deux coups», dira un connaisseur avisé.
Dimanche dernier, lors du forum de «Ouest Tribune», le wali d’Oran a répondu à une question d’El Watan sur ce sujet. «L’idée de délocaliser le centre de l’Armée est toujours à l’ordre du jour», dira-t-il. «Un accord a été trouvé avec la Région militaire pour donner une nouvelle structure à l’Armée. Mais il est prévu que la wilaya lègue à l’Armée une autre structure clefs en main, c’est-à-dire aménagée. Ce qui explique le retard, car la structure en question est actuellement du ressort de la direction des transports. Il faut que celle-ci soit délocalisée à son tour», dira-t-il.
Par ailleurs, il faut savoir que tous les immeubles aux alentours de la place du 1er Novembre devront bénéficier d’une opération de réhabilitation, dans le cadre d’un nouveau programme décidé le mois de décembre dernier. L’ex-hôtel de ville devait également bénéficier d’une restauration, pour être transformé en musée. Or, jusqu’à ce jour, bien que les échaffaudages aient été placées, le projet est encore à la traîne. Par ailleurs, pour beaucoup d’Oranais, il est nécessaire d’animer davantage la place du 1er Novembre, souvent présentée comme la carte postale de la ville, mais réputée pour être «tristounette» tant aucune activité n’y est animée. «Il est urgent de munir cette grande place de cafés avec terrasse ou encore de restaurants», diront beaucoup de gens. «Cela est d’autant plus souhaitable qu’elle est desservie par le tramway et est pourvue du théâtre régional de la ville. De ce fait, elle peut être animée jusqu’aux heures nocturnes».
Akram El Kebir El Watan