2013-06-23
Le secrétaire d’État chargé du tourisme
“Sidi Bel-Abbès doit développer le tourisme fluvial”
Le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, chargé du Tourisme, Mohamed Amine Hadj Saïd, qui a effectué, jeudi dernier, une visite de travail et d’inspection à Sidi Bel-Abbès, a estimé que “cette wilaya est à forte valeur écologique, et le type de tourisme qui doit y être développé est un tourisme respectueux de la nature, c’est-à-dire un tourisme fluvial. Donc, ce serait merveilleux que Sidi Bel-Abbès se spécialise dans le tourisme lacustre, et ça sera une valeur ajoutée par rapport à la région. Aussi, nous estimons que cette wilaya peut servir de locomotive en matière de tourisme parce qu’elle a la chance d’avoir une position stratégique (limitrophe avec sept wilaya), elle recèle des plans naturels et avec des mentalités très ouvertes au tourisme”. Dans cet ordre d’idées, M. Hadj Saïd, qui s’est enquis des potentialités naturelles du site du barrage Sarno, situé à 17 km au nord du chef-lieu de wilaya, a mis en relief l’importance de la coordination intersectorielle.
A ce sujet, il a insisté sur l’exploitation des technologies de l’information et de la communication dans la promotion du produit touristique et sur la qualité de la formation pour garantir celle des prestations touristiques.
En visitant le lac de Sidi Mohamed Benali, M. Hadj Saïd a abordé la stratégie de son secteur pour le développement et la relance du tourisme dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès. “Le ministère du Tourisme a une stratégie qui a été adoptée par le gouvernement en 2008 et qui repose sur cinq axes, à savoir la promotion, l’investissement, la formation, le financement et l'intersectorialité. A titre d’exemple Sidi Bel-Abbès a beaucoup de choses de grande valeur qui sont méconnues non seulement par ses habitants, mais aussi par ceux des wilayas limitrophes. Pour cela, il faut encourager l’investissement selon le schéma directeur d’aménagement touristique de wilaya. Aussi, il ne faut pas résonner en cloisonnement, il faut le faire en pôle, car dans le schéma directeur de wilaya, on parle de sept pôles touristiques, et Sidi Bel-Abbès fait partie du pôle nord-ouest”, a-t-il indiqué. En réponse à une question sur le redéploiement des zones d’extension touristique (ZET), le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme a signalé que des allègements ont été introduits dans les procédures d’accès au foncier pour accorder beaucoup de facilités aux investisseurs. “Désormais, c’est le Calpiref qui va le gérer. A partir de là, les aides vont être accordées par l’Agence nationale de développement du tourisme (ANDT) et devient une affaire du wali avec l’ANDT. Donc, il faut que ces aides soient entre les mains de véritables investisseurs”. A ce propos, il a annoncé la signature de conventions avec six banques publiques pour l’octroi de crédits à l’investissement et des incitations fiscales au profit des agences de tourisme.
“Sidi Bel-Abbès doit développer le tourisme fluvial”
Le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, chargé du Tourisme, Mohamed Amine Hadj Saïd, qui a effectué, jeudi dernier, une visite de travail et d’inspection à Sidi Bel-Abbès, a estimé que “cette wilaya est à forte valeur écologique, et le type de tourisme qui doit y être développé est un tourisme respectueux de la nature, c’est-à-dire un tourisme fluvial. Donc, ce serait merveilleux que Sidi Bel-Abbès se spécialise dans le tourisme lacustre, et ça sera une valeur ajoutée par rapport à la région. Aussi, nous estimons que cette wilaya peut servir de locomotive en matière de tourisme parce qu’elle a la chance d’avoir une position stratégique (limitrophe avec sept wilaya), elle recèle des plans naturels et avec des mentalités très ouvertes au tourisme”. Dans cet ordre d’idées, M. Hadj Saïd, qui s’est enquis des potentialités naturelles du site du barrage Sarno, situé à 17 km au nord du chef-lieu de wilaya, a mis en relief l’importance de la coordination intersectorielle.
A ce sujet, il a insisté sur l’exploitation des technologies de l’information et de la communication dans la promotion du produit touristique et sur la qualité de la formation pour garantir celle des prestations touristiques.
En visitant le lac de Sidi Mohamed Benali, M. Hadj Saïd a abordé la stratégie de son secteur pour le développement et la relance du tourisme dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès. “Le ministère du Tourisme a une stratégie qui a été adoptée par le gouvernement en 2008 et qui repose sur cinq axes, à savoir la promotion, l’investissement, la formation, le financement et l'intersectorialité. A titre d’exemple Sidi Bel-Abbès a beaucoup de choses de grande valeur qui sont méconnues non seulement par ses habitants, mais aussi par ceux des wilayas limitrophes. Pour cela, il faut encourager l’investissement selon le schéma directeur d’aménagement touristique de wilaya. Aussi, il ne faut pas résonner en cloisonnement, il faut le faire en pôle, car dans le schéma directeur de wilaya, on parle de sept pôles touristiques, et Sidi Bel-Abbès fait partie du pôle nord-ouest”, a-t-il indiqué. En réponse à une question sur le redéploiement des zones d’extension touristique (ZET), le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme a signalé que des allègements ont été introduits dans les procédures d’accès au foncier pour accorder beaucoup de facilités aux investisseurs. “Désormais, c’est le Calpiref qui va le gérer. A partir de là, les aides vont être accordées par l’Agence nationale de développement du tourisme (ANDT) et devient une affaire du wali avec l’ANDT. Donc, il faut que ces aides soient entre les mains de véritables investisseurs”. A ce propos, il a annoncé la signature de conventions avec six banques publiques pour l’octroi de crédits à l’investissement et des incitations fiscales au profit des agences de tourisme.
A. BOUSMAHA Liberté