2012-04-28
TOMBER DE RIDEAU SUR “TLEMCEN, CAPITALE DE LA CULTURE ISLAMIQUE 2011”
Une année d’échanges et de rencontres
Le rideau est tombé, mercredi dernier, sur cette manifestation culturelle qui a réuni des artistes, des universitaires, des penseurs et des intellectuels qui ont pris part à des expositions, des spectacles, des semaines culturelles et des colloques.
La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, a présidé la cérémonie officielle de clôture qui s’est déroulée en soirée au palais de la culture Imama, en présence de Noureddine Yazid Zerhouni, vice-premier ministre, de Zohra Drif-Bitat, membre du Conseil de la nation et du Conseil international des parlementaires, et de 25 ambassadeurs de pays islamiques accrédités à Alger. Dans son discours, la ministre a tenu d’abord à rendre un hommage posthume à Ahmed Ben Bella, puis d’estimer que la manifestation de Tlemcen “a permis de jeter une passerelle entre les cultures des différents pays islamiques avec tout ce que cela signifie comme enrichissement mutuel pluridisciplinaire, mettant ainsi en évidence la place de choix qu’occupe l’Algérie en général et Tlemcen en particulier, notamment dans le dialogue des civilisations érigé en option stratégique pour la coexistence pacifique des peuples”. Mme Toumi a également souligné que Tlemcen 2011 est “un événement pas comme les autres”, tout en signalant les records de fréquentation. S’intéressant aux douze nouvelles infrastructures culturelles créées à la faveur de cette manifestation, Mme Toumi a indiqué que “jamais auparavant un tel nombre n’a été enregistré dans le pays en un laps de temps si court, marqué par une confiance aveugle accordée aux jeunes compétences nationales, qu’il s’agisse de bureaux d’études ou d’entreprises locales qui ont relevé le défi et que je tiens aujourd’hui à féliciter”.
La ministre et ses invités ont assisté par la suite à un concert de musique animé par l’orchestre symphonique national et la chorale Alhan oua Chabab accompagnés par le chœur de la garde républicaine, sous la direction du maestro syrien Missak Baghboudarian. Auparavant, Mme Toumi avait inauguré la nouvelle bibliothèque et galerie des arts implantée dans le populeux quartier d’Imama qui portera le nom du grand écrivain Mohammed Dib ; le pavillon d’exposition de Koudia baptisé au nom du défunt artiste Mohamed Farrah ; le théâtre de verdure, le centre d’études andalouses jouxtant le palais de la culture qui abritera les rencontres scientifiques, et enfin la cinémathèque Djamel-Chanderli. La ministre a déclaré à la presse : “Tlemcen a été tout au long de l’année 2011 un lieu de rencontres de personnalités du monde de la culture, de la science, des arts et de la religion, ayant accueilli des dizaines de manifestations dont des colloques internationaux, expositions et semaines culturelles. Le programme des activités a permis de mettre en relief l’apport culturel, scientifique et littéraire de la perle du Maghreb arabe qui a enfanté des savants, penseurs et créateurs lesquels ont brillé à travers l’histoire.”
Par ailleurs, durant cinq jours, le palais de la culture, la maison de la culture et le théâtre de verdure ont accueilli des artistes venus de tout le territoire national participer à des galas artistiques de clôture de la manifestation marquée également par un défilé à travers la ville.
Une année d’échanges et de rencontres
Le rideau est tombé, mercredi dernier, sur cette manifestation culturelle qui a réuni des artistes, des universitaires, des penseurs et des intellectuels qui ont pris part à des expositions, des spectacles, des semaines culturelles et des colloques.
La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, a présidé la cérémonie officielle de clôture qui s’est déroulée en soirée au palais de la culture Imama, en présence de Noureddine Yazid Zerhouni, vice-premier ministre, de Zohra Drif-Bitat, membre du Conseil de la nation et du Conseil international des parlementaires, et de 25 ambassadeurs de pays islamiques accrédités à Alger. Dans son discours, la ministre a tenu d’abord à rendre un hommage posthume à Ahmed Ben Bella, puis d’estimer que la manifestation de Tlemcen “a permis de jeter une passerelle entre les cultures des différents pays islamiques avec tout ce que cela signifie comme enrichissement mutuel pluridisciplinaire, mettant ainsi en évidence la place de choix qu’occupe l’Algérie en général et Tlemcen en particulier, notamment dans le dialogue des civilisations érigé en option stratégique pour la coexistence pacifique des peuples”. Mme Toumi a également souligné que Tlemcen 2011 est “un événement pas comme les autres”, tout en signalant les records de fréquentation. S’intéressant aux douze nouvelles infrastructures culturelles créées à la faveur de cette manifestation, Mme Toumi a indiqué que “jamais auparavant un tel nombre n’a été enregistré dans le pays en un laps de temps si court, marqué par une confiance aveugle accordée aux jeunes compétences nationales, qu’il s’agisse de bureaux d’études ou d’entreprises locales qui ont relevé le défi et que je tiens aujourd’hui à féliciter”.
La ministre et ses invités ont assisté par la suite à un concert de musique animé par l’orchestre symphonique national et la chorale Alhan oua Chabab accompagnés par le chœur de la garde républicaine, sous la direction du maestro syrien Missak Baghboudarian. Auparavant, Mme Toumi avait inauguré la nouvelle bibliothèque et galerie des arts implantée dans le populeux quartier d’Imama qui portera le nom du grand écrivain Mohammed Dib ; le pavillon d’exposition de Koudia baptisé au nom du défunt artiste Mohamed Farrah ; le théâtre de verdure, le centre d’études andalouses jouxtant le palais de la culture qui abritera les rencontres scientifiques, et enfin la cinémathèque Djamel-Chanderli. La ministre a déclaré à la presse : “Tlemcen a été tout au long de l’année 2011 un lieu de rencontres de personnalités du monde de la culture, de la science, des arts et de la religion, ayant accueilli des dizaines de manifestations dont des colloques internationaux, expositions et semaines culturelles. Le programme des activités a permis de mettre en relief l’apport culturel, scientifique et littéraire de la perle du Maghreb arabe qui a enfanté des savants, penseurs et créateurs lesquels ont brillé à travers l’histoire.”
Par ailleurs, durant cinq jours, le palais de la culture, la maison de la culture et le théâtre de verdure ont accueilli des artistes venus de tout le territoire national participer à des galas artistiques de clôture de la manifestation marquée également par un défilé à travers la ville.
B. ABDELMADJID Liberté