2012-02-12
CALLIGRAPHIE, MINIATURE ET CERAMIQUE
Ispahan exhibe ses merveilles à Tlemcen
La ville iranienne d’Ispahan était l’invitée d’honneur de “Tlemcen capitale de la culture islamique”, à travers une exposition de calligraphies, de miniatures et de céramiques qui s’est tenue du 8 au 11 février au Palais de la culture. Quatre calligraphes iraniens (Mohamed Reza Shahei, Ali Khaeri, Mohsen Salemani et Bahrouzi Bahzavrei), réputés pour leurs œuvres, participent à cette exposition qui a suscité un intérêt particulier du public, compte tenu de la beauté des objets artisanaux exposés et finement ciselés, ainsi que les tableaux de peinture mettant en valeur la calligraphie iranienne au style koufi, les textiles imprimés, le travail du bois, du métal, les gravures, la faïence et le tapis, dont Ispahan est restée un important centre urbain de production et qui est exporté dans plusieurs régions du monde. La ville d’Ispahan est située à environ 300 km au sud de Téhéran, c’est la troisième ville d’Iran après Téhéran et Mashad, avec près de 3 millions d’habitants. Elle est le centre névralgique de l’industrie, de l’artisanat traditionnel et de l’enseignement supérieur en Iran. Ancienne capitale de l’empire persan sous la dynastie des Safavides entre le 16e et le 18e siècles, Ispahan “est considérée comme étant une vitrine de l’architecture et de l’art safavide extrêmement raffiné, ainsi que les nombreux monuments islamiques construits entre les 11e et 19e siècle”. Les calligraphes iraniens ont exécuté sous les yeux du public de nombreux travaux sur toile avec des inscriptions puisées du livre saint du Coran, offrant leurs œuvres sur place. Le premier tableau a été offert au coordonnateur de la manifestation “Tlemcen, capitale de la culture islamique”, Abdelhamid Belblidia, qui a souligné dans une courte allocution “la permanence des relations intangibles entre l’Algérie et l’Iran, notamment dans le domaine culturel et la place qu’occupe Ispahan dans le cœur des Algériens”.
Ispahan exhibe ses merveilles à Tlemcen
La ville iranienne d’Ispahan était l’invitée d’honneur de “Tlemcen capitale de la culture islamique”, à travers une exposition de calligraphies, de miniatures et de céramiques qui s’est tenue du 8 au 11 février au Palais de la culture. Quatre calligraphes iraniens (Mohamed Reza Shahei, Ali Khaeri, Mohsen Salemani et Bahrouzi Bahzavrei), réputés pour leurs œuvres, participent à cette exposition qui a suscité un intérêt particulier du public, compte tenu de la beauté des objets artisanaux exposés et finement ciselés, ainsi que les tableaux de peinture mettant en valeur la calligraphie iranienne au style koufi, les textiles imprimés, le travail du bois, du métal, les gravures, la faïence et le tapis, dont Ispahan est restée un important centre urbain de production et qui est exporté dans plusieurs régions du monde. La ville d’Ispahan est située à environ 300 km au sud de Téhéran, c’est la troisième ville d’Iran après Téhéran et Mashad, avec près de 3 millions d’habitants. Elle est le centre névralgique de l’industrie, de l’artisanat traditionnel et de l’enseignement supérieur en Iran. Ancienne capitale de l’empire persan sous la dynastie des Safavides entre le 16e et le 18e siècles, Ispahan “est considérée comme étant une vitrine de l’architecture et de l’art safavide extrêmement raffiné, ainsi que les nombreux monuments islamiques construits entre les 11e et 19e siècle”. Les calligraphes iraniens ont exécuté sous les yeux du public de nombreux travaux sur toile avec des inscriptions puisées du livre saint du Coran, offrant leurs œuvres sur place. Le premier tableau a été offert au coordonnateur de la manifestation “Tlemcen, capitale de la culture islamique”, Abdelhamid Belblidia, qui a souligné dans une courte allocution “la permanence des relations intangibles entre l’Algérie et l’Iran, notamment dans le domaine culturel et la place qu’occupe Ispahan dans le cœur des Algériens”.
B. ABDELMADJID Liberté