2011-07-06
En débat à Tlemcen : Les rites festifs dans les mariages algérois et tlemceniens
Les rites festifs et le savoir-faire dans les mariages algérois et tlemcenien ont été au centre des débats lundi à Tlemcen du Colloque international sur "les savoirs-faire ancestraux de Tlemcen et de sa région".
Dans une communication intitulée "Les rites festifs et savoir-faire à Alger", le chercheur Adel Issam a mis en exergue la relation existante entre les rituels pratiqués dans la cérémonie de mariage à Alger et les sens que leur donne la société.
Il a indiqué que "les rites ne prendront de sens que s’ils sont pratiqués avec une exigence pratique alignée à un savoir-faire ancien, à l'exemple de la pratique du rituel de l’imposition du henné au marié ou la pratique rituelle musicale qui se traduit par l’orchestre du chaabi qui a su produire un savoir-faire artisanal représenté par l’outil musical que sont les instruments".
Pour l’universitaire Moussaoui Leila, qui a présenté une communication sur "Le mariage tlemcenien", "Tlemcen est un creuset des civilisations et en même temps une société complexe qui contient de nombreux rites, dont le mariage".
Dans sa conférence, Mme Moussaoui a survolé les différentes étapes d’un mariage tlemcenien classique qui a évolué au fil des temps et s’est allégé "pour des raisons socio-économiques" tout en conservant "l’esprit qui reflète une cité royale, capitale de la culture islamique".
D’autres conférences ont été également présentées lors de cette dernière journée sur les savoirs-faire ancestraux de Tlemcen et de sa région, à l'image de celle intitulée "La derbouka et son rôle dans le rythme de la musique arabe" ou encore celle ayant trait à la musique populaire et ses instruments présentés par un professeur soudanais, en l’occurrence M. Abbas Slimane Hamed Sibaii.
Le Colloque international sur les savoirs-faire ancestraux de Tlemcen et de sa région a regroupé, trois jours durant, des enseignants et chercheurs d'universités algériennes et étrangères.
Cette rencontre est la septième du genre organisée par le département "Colloques scientifiques de la manifestation Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011", rappelle-t-on.
Les rites festifs et le savoir-faire dans les mariages algérois et tlemcenien ont été au centre des débats lundi à Tlemcen du Colloque international sur "les savoirs-faire ancestraux de Tlemcen et de sa région".
Dans une communication intitulée "Les rites festifs et savoir-faire à Alger", le chercheur Adel Issam a mis en exergue la relation existante entre les rituels pratiqués dans la cérémonie de mariage à Alger et les sens que leur donne la société.
Il a indiqué que "les rites ne prendront de sens que s’ils sont pratiqués avec une exigence pratique alignée à un savoir-faire ancien, à l'exemple de la pratique du rituel de l’imposition du henné au marié ou la pratique rituelle musicale qui se traduit par l’orchestre du chaabi qui a su produire un savoir-faire artisanal représenté par l’outil musical que sont les instruments".
Pour l’universitaire Moussaoui Leila, qui a présenté une communication sur "Le mariage tlemcenien", "Tlemcen est un creuset des civilisations et en même temps une société complexe qui contient de nombreux rites, dont le mariage".
Dans sa conférence, Mme Moussaoui a survolé les différentes étapes d’un mariage tlemcenien classique qui a évolué au fil des temps et s’est allégé "pour des raisons socio-économiques" tout en conservant "l’esprit qui reflète une cité royale, capitale de la culture islamique".
D’autres conférences ont été également présentées lors de cette dernière journée sur les savoirs-faire ancestraux de Tlemcen et de sa région, à l'image de celle intitulée "La derbouka et son rôle dans le rythme de la musique arabe" ou encore celle ayant trait à la musique populaire et ses instruments présentés par un professeur soudanais, en l’occurrence M. Abbas Slimane Hamed Sibaii.
Le Colloque international sur les savoirs-faire ancestraux de Tlemcen et de sa région a regroupé, trois jours durant, des enseignants et chercheurs d'universités algériennes et étrangères.
Cette rencontre est la septième du genre organisée par le département "Colloques scientifiques de la manifestation Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011", rappelle-t-on.
El Moudjahid