2011-03-02
Les opérations de dépollution toucheront une zone qui va du complexe touristique. Les Andalouses jusqu’à la station balnéaire Paradis Plage via Bousfer Plage.
Dans le cadre du programme de dépollution du littoral oranais, des opérations de grande envergure seront entamées au cours de la première quinzaine du mois courant, a-t-on appris de source proche de la direction de l’Hydraulique de la wilaya d’Oran (DHW). Dotées d’une enveloppe financière de l’ordre de 40 milliards de centimes, ces actions sont appelées à éradiquer les rejets en mer. Ces opérations de dépollution toucheront une zone qui va du complexe touristique Les Andalouses jusqu’à la station balnéaire Paradis Plage via Bousfer Plage, a-t-on indiqué de même source. Cette situation est dramatiquement vécue par les riverains qui souffrent des effets nocifs des points noirs générés par les eaux usées.
L’absence des collecteurs rend quasiment impossibles les opérations d’assainissement, a-t-on précisé, citant le projet de raccordement du réseau d’assainissement des eaux usées (d’El Ançor et Bousfer) vers la station de traitement et d’épuration (STEP) de Aïn El Turck d’une capacité de 30.000 m3 par jour et qui est actuellement en cours d’essais techniques. Pour parer au plus pressé, il est prévu la réalisation (avant fin 2011) de collecteurs des eaux usées et leur transfert vers cette STEP. La mise en service de cette station aura un retentissement sur l’agriculture à Bousfer et Aïn El Turck, a-t-on ajouté de même source.
Dans le cadre du programme de dépollution du littoral oranais, des opérations de grande envergure seront entamées au cours de la première quinzaine du mois courant, a-t-on appris de source proche de la direction de l’Hydraulique de la wilaya d’Oran (DHW). Dotées d’une enveloppe financière de l’ordre de 40 milliards de centimes, ces actions sont appelées à éradiquer les rejets en mer. Ces opérations de dépollution toucheront une zone qui va du complexe touristique Les Andalouses jusqu’à la station balnéaire Paradis Plage via Bousfer Plage, a-t-on indiqué de même source. Cette situation est dramatiquement vécue par les riverains qui souffrent des effets nocifs des points noirs générés par les eaux usées.
L’absence des collecteurs rend quasiment impossibles les opérations d’assainissement, a-t-on précisé, citant le projet de raccordement du réseau d’assainissement des eaux usées (d’El Ançor et Bousfer) vers la station de traitement et d’épuration (STEP) de Aïn El Turck d’une capacité de 30.000 m3 par jour et qui est actuellement en cours d’essais techniques. Pour parer au plus pressé, il est prévu la réalisation (avant fin 2011) de collecteurs des eaux usées et leur transfert vers cette STEP. La mise en service de cette station aura un retentissement sur l’agriculture à Bousfer et Aïn El Turck, a-t-on ajouté de même source.
B. Alami El Watan